Je suis lion... ascendant tête de mule. Tout le monde vous le dira.
Alors forcement, même si les traditions sont multi-millénaires, il faut que je mette mon grain de sel. Cela fait braire pas mal de monde, mais ce n'est pas mon problème. La vie est plus drôle comme ça.
En principe, si vous avez bien lu l'article précédent, au cours des festivités de Norouz en Iran, on offre des gâteaux à ses visteurs. Traditionnellement ce sont des noon nokhodchi (gâteaux à la faine de pois chiches), des noon berendji (gâteaux à la farine de riz) et des baghlava.
Oui mais non. Cette année j'ai décidé qu'il en serait autrement. Pour autant, je ne voulais pas non plus me faire maudire sur 27 générations. Il me fallait donc une recette différente mais avec un soupçon de déférence quand même.
Alors que je n'y pensait même plus, Heidi m'a soufflé la solution. Des snickerdoodles à la vanille et au safran. Rien que pour leur drôle de nom j'avais envie de les préparer et puis le safran était l'argument parfait pour rendre ma transgression respectueuse.
J'avoue aussi que l'idée d'Heidi de former les biscuits à l'aide d'une cuillère à glace était totalement irrésistible.
Alors forcement, même si les traditions sont multi-millénaires, il faut que je mette mon grain de sel. Cela fait braire pas mal de monde, mais ce n'est pas mon problème. La vie est plus drôle comme ça.
En principe, si vous avez bien lu l'article précédent, au cours des festivités de Norouz en Iran, on offre des gâteaux à ses visteurs. Traditionnellement ce sont des noon nokhodchi (gâteaux à la faine de pois chiches), des noon berendji (gâteaux à la farine de riz) et des baghlava.
Oui mais non. Cette année j'ai décidé qu'il en serait autrement. Pour autant, je ne voulais pas non plus me faire maudire sur 27 générations. Il me fallait donc une recette différente mais avec un soupçon de déférence quand même.
Alors que je n'y pensait même plus, Heidi m'a soufflé la solution. Des snickerdoodles à la vanille et au safran. Rien que pour leur drôle de nom j'avais envie de les préparer et puis le safran était l'argument parfait pour rendre ma transgression respectueuse.
J'avoue aussi que l'idée d'Heidi de former les biscuits à l'aide d'une cuillère à glace était totalement irrésistible.
le résultat fut incroyablement bon: des biscuits tendres mais croustillants et subtilement parfumés. Du genre qui se mangent tout seuls (vous savez, ceux dont on laisse trainer une assiette remplie sur la table le matin et que l'on retrouve vide le soir), avec les yeux qui se plissent de plaisir à chaque bouchée... vivement Norouz pour déguster la prochaine fournée.