De l'Algérie, je ne connaissais pas grand chose. Même si j'ai lu Camus.
Et puis le printemps 2013 est arrivé et nous nous sommes envolés vers Alger.
Vous raconter cette ville n'est pas evident. Si ce n'est qu'elle est bouleversante, infiniment dépaysante et pourtant si familière. Voyager à Alger pour les français que nous sommes c'est accepter la part de schizophrénie qui est en chacun de nous.